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Mon premier lapin : le guide complet
Choisir et prendre soin de son premier lapin : le guide complet
Ca y est, vous avez pris une grande décision : vous allez adopter votre premier lapin. Avec son espérance de vie d’une dizaine d’années, ce n’est pas un engagement à prendre à la légère. Vous voulez donc l’accueillir dans les meilleures conditions possibles, lui proposer tout ce qui est nécessaire à son bien être, en prendre soin le mieux possible : bravo ! Cet article est justement là pour vous aider 👇
Un premier lapin est une expérience qui sera inoubliable pour vous, c’est aussi et surement beaucoup de questions, car vous avez surement envie de bien faire, de savoir ce qu’il faut faire ou ne pas faire, et aussi de comprendre votre nouveau compagnon. Mais c’est aussi des choix à faire dès le départ, comment l’acquérir ?, quelle race prendre ?, quelle place à la maison ?… autant de questions importantes pour réussir au mieux l’accueil de votre premier lapin !
Où l’adopter
Quel individu choisir ?
Si vous avez un jour adopté un animal de compagnie : chat ou un chien, vous savez probablement que certaines races sont réputées pour être plus “faciles” que d’autres. Pour le lapin, ce n’est pas le cas.
Si tous les lapins descendent du lapin de garenne, il existe aujourd’hui de nombreuses races. Certes, les géants sont généralement plus calmes que les lapins nains. Cela ne veut pas dire que votre lapin nain vivra forcément à 200 km/h, ni que votre géant des Flandres passera ses journées à dormir. Il s’agit bien de généralités, et chaque individu s’en éloigne plus ou moins.
Cependant, si vous cherchez un caractère ou un comportement spécifique et bien établi, il serait judicieux de vous orienter vers l’adoption d’un lapin adulte. Vous éviterez ainsi la puberté qui est souvent pénible, l’apprentissage de la propreté qui peut être long et limiterez également le risque de voir le caractère de votre petit amour changer du tout au tout après celle-ci.
Il existe des hypertypes chez le lapin, comme chez le chien et le chat. Il s’agit d’une modification de l’anatomie avec l’accentuation à l’extrême de traits distinctifs propres à certaines races animales domestiques. Si ce sont des lapins qui peuvent être très mignons et différents, cela n’est pas sans inconvénient pour le lapin qui aura beaucoup plus de risque de problèmes graves de santé, et pour vous en terme de dépenses vétérinaires. Si vous envisagez d’adopter une de ses races, vous devez être informé de ces risques. De nombreux vétérinaires et amoureux des lapins déconseillent totalement de contribuer au développement des hypertypes.
Les minilops, les mini Rex, les lapins béliers, les polonais, les béliers anglais, les très petits nains (800g à 1kg…), en outre, tous les lapins nains avec une tête très ronde, oreilles tombantes sont enclins à développer de graves problèmes médicaux tels que des problèmes dentaires, mais également auriculaires.
Chez les lapins béliers, le conduit auditif est écrasé à cause de la déformation de leurs oreilles qui à l’origine, sont dressées sur leur tête. Cette particularité augmente le risque d’otites et de surdité.
Chez les petites races de lapins, comme les minilops ou bien les lapins sélectionnés pour leurs très (trop) petites tailles, leur tête ronde, bien que mignonne, fait également défaut.
Comparez le lapin de garenne au berger allemand et le minilop avec un bouledogue français : ne voyez-vous pas une similitude flagrante ? En effet, chez le lapin aussi, le nez écrasé existe bel et bien. Cette déformation favorise des cavités nasales et des sinus plus étroits provoquant l’installation des bactéries. Les lapins ne respirant que par le nez, c’est un véritable souci. Cette forme de tête peut également avoir un impact sur leur mâchoire, en la déformant. À ce sujet, cette déformation peut avoir comme effet une inversion de la mandibule inférieure et de la mandibule supérieure. Par conséquent, les dents ne peuvent pas s’user correctement. Les problèmes dentaires sont fréquents et complexes à soigner.
Ces mutations génétiques peuvent causer des douleurs et des handicaps importants au lapin tout au long de sa vie.
Si votre lapin est un hypertype, des visites plus régulières chez un vétérinaire NAC seront nécessaires. En cas de mâchoire inversée, il faudra emmener le lapin se faire limer les dents régulièrement. Parfois même, le retrait de celles-ci est plus recommandé.
Pour les lapins béliers, des contrôles et un nettoyage régulier des oreilles est conseillé. Des opérations peuvent également avoir lieu afin de soigner les otites. Même si celles-ci sont parfois indispensables, cela reste une intervention lourde et douloureuse pour eux.
Mais n’est-ce pas un comble de devoir recourir à la chirurgie pour son bien-être, quand la seule solution serait d’arrêter de faire naitre des lapins de plus en plus hypertypés pour leur éviter ces souffrances toute leur vie ?
A vous maintenant, futurs parents de lapins, de faire des recherches approfondies sur les races sur lesquelles vous craquez. Vous avez toutes les cartes en main afin de vous assurer qu’elles ne soient pas hypertype, et donc éviter, sur du long terme, d’énormes frais vétérinaires et des souffrances pour votre futur compagnon et vous.
Animalerie : à fuir ?
Si on entend beaucoup de choses sur les animaleries, c’est probablement à cause du manque de sérieux et d’implication de nombre de celles-ci.
Mauvais conseils, animaux malades et/ou non sevrés, achats compulsifs, élevages insalubres… Les magasins spécialisés dans la vente d’animaux sont le théâtre de beaucoup d’exactions dont vous ne souhaiteriez pas être complice (ou victime).
Il nous faut bien sûr tempérer nos propos en rappelant que certaines de ces enseignes sont encore sérieuses ; malheureusement le commerce des petits mammifères est aujourd’hui toujours aussi opaque.
Dans ces conditions, nous préférons vous orienter vers d’autres méthodes d’adoption plus responsables, où vous serez certain.e d’adopter un lapin correctement sevré et sociabilisé. Rendez-vous ci-dessous 🤗
Eleveurs : pour une race en particulier
Si vous souhaitez un lapin d’une race spécifique (fauve de Bourgogne, Géant des Flandres, Papillon…) avec des caractéristiques particulières (en vue de concours, par exemple), les éleveurs français peuvent être une option intéressante.
Attention toutefois à bien sélectionner l’ élevage où vous prendrez votre animal : n’hésitez pas à échanger avec la personne, et à visiter les installations pour vous assurer de leur propreté et des soins apportés aux lapins présents. Vérifiez également que vous avez bel et bien affaire à un éleveur professionnel et déclaré, donc soumis à des règles strictes, et non un “éleveur” improvisé qui enchaine les reproductions sans rien connaitre à la génétique ni à la généalogie de ses reproducteurs. Nous pouvons cependant vous conseiller deux éleveuses très sérieuses.
Fondations et associations : vous y trouverez forcément le lapin qu’il vous faut
Que vous cherchiez un bébé, un adulte, un lapin nain ou un géant, les associations ont forcément l’animal qu’il vous faut.
Débordant littéralement d’animaux à adopter, vous y trouverez votre bonheur. Chaque individu y est présenté avec son caractère, ses habitudes, ce qui vous permet de trouver celui dont le comportement sera le plus compatible avec votre vie. La plupart des associations autorisent les covoiturages pour vous amener votre lapin, et vous proposeront leurs conseils avant et après votre adoption.
Mieux, en adoptant dans une association, vous adopterez généralement un lapin déjà vacciné et stérilisé, et vous offrirez sa place à un autre animal dans le besoin.
Ci-dessous, vous pourrez découvrir deux refuges : Le refuge didactique La Colline Aux Lapins en Suisse et le refuge AdopteUnChat.org en Bretagne.
De son sevrage à la fin de sa croissance (lapin juvénile)
Le lapereau est un animal en pleine croissance qui a besoin d’une alimentation adaptée. Tout d’abord, du foin de qualité. Bien vert, non poussiéreux, il sent bon et possède de longs brins appétissants. Votre lapin doit en avoir à sa disposition en permanence, et doit en consommer chaque jour l’équivalent du volume de son corps.
Foin de prairie, de montagne, de Crau, de phléole, bio de Normandie… Le choix est vaste. Pour vous décider, rendez-vous sur notre article dédié.
Ensuite, votre lapin juvénile a besoin de granulés à volonté. Commencez par lui proposer les mêmes que celui de l’endroit où vous l’avez adopté. Si vous souhaitez en changer, faites-le très progressivement afin de ne pas perturber son système digestif qui est encore très fragile.
Pour sa santé, évitez tant que possible les mélanges contenant des graines ou différents types d’aliments. Tournez-vous plus volontiers vers les extrudés, qui empêcheront votre animal de trier sa nourriture et donc de déséquilibrer ses apports journaliers. Nous vous proposons plusieurs variétés adaptées à tous les âges sur notre site, qui vous permettront de favoriser une croissance harmonieuse de votre petit bébé.
Enfin, passés ses 3 mois, vous pourrez commencer à introduire très progressivement les légumes, une fois lavés et séchés. Démarrez par exemple par une feuille de mâche (et une seule), à J-0. Observez le comportement de votre lapin et ses selles dans les 24h suivantes. Si tout se passe bien, proposez-lui deux feuilles le lendemain. Puis 3 le surlendemain si tout se passe toujours bien… Procédez ainsi pour chaque légume, en démarrant préférablement par ceux de la catégorie Fréquent dans notre Nutriscore (voir la base de données).
N.B. : quelque chose ne tourne pas rond ? Votre lapin déclenche une diarrhée ? Il s’agit d’une urgence vitale. Rendez-vous immédiatement chez votre vétérinaire NAC et stoppez tout apport de nourriture (autre que le foin).
Le régime alimentaire du lapin adulte
L’alimentation du lapin adulte se base sur deux ingrédients : du foin, et des légumes auxquels vous pouvez ajouter, si vous le souhaitez, quelques granulés. C’est tout.
Tout comme le lapereau, le lapin adulte doit consommer chaque jour l’équivalent du volume de son corps en foin. Il doit en avoir à sa disposition en permanence.
Au niveau des légumes, votre lapin doit consommer chaque jour 10% de son poids en verdure diverse. Attention : cela ne s’applique que si votre lapin est déjà habitué à l’alimentation naturelle. S’il n’a consommé jusqu’ici que des granulés, il vous faut procéder à une introduction prudente et progressive de chaque légume, tout comme pour les lapereaux (voir ci-dessus).
Si vous choisissez de proposer des granulés à votre petit amour, veillez à ne pas dépasser la dose de 2% de son poids quotidiennement.
Jus de légumes, pierres à lécher, céréales… Qu’en penser ?
Une question simple : combien de fois avez-vous vu votre lapin utiliser un extracteur pour se faire un jus de carotte le matin ? Ou l’avez-vous déjà vu lécher frénétiquement une pierre quelconque ? Hmm ? Non, n’est-ce pas ?
Et bien, voilà, vous avez la réponse : ces produits sont inutiles. Pire, ils sont nocifs. Les jus (de légumes, ou de fruits) sont dépourvus de fibres, leurs vitamines éventuels ont été détruites par le procédé d’extraction, et ils débordent littéralement de sucres. Ils n’ont donc aucun intérêt pour votre lapin.
Certains les utilisent pour favoriser l’hydratation de l’animal en les mélangeant à leur eau de boisson, lors de troubles digestifs ou de grosses chaleurs par exemple. Si cela peut aider à très court terme, il n’est pas recommandé de recourir à cette astuce régulièrement, pour les raisons énoncées ci-dessus.
Les pierres à lécher, quant à elle, apportent du sel et du calcium. Deux ingrédients très mauvais pour les reins de votre animal, qui peuvent, en plus, provoquer des calculs rénaux !
Quant aux céréales, elles ne font pas partie du régime alimentaire du lapin qui est un herbivore strict (et non un granivore). Le pain, graines et autres épis en tout genre doivent être absolument bannis de la gamelle de votre compagnon, sous peine de lui causer toutes sortes de troubles digestifs (ballonnements, diarrhées…).
Quel matériel prévoir pour l’ aménagement de son espace ?
Râteliers, couchages, litières… Nous avons fait le point sur cette question dans notre article “Tout savoir sur l’habitat du lapin”
Quelle que soit la taille du lapin, la cage n’est pas un habitat adapté. En effet, comme vous pourrez le lire sur l’article cité au-dessus, le lapin vit sur un territoire de plusieurs hectares centré sur son terrier dans son milieu naturel. Il peut ainsi répondre à ses besoins comme gratter, creuser, sauter, courir, jouer. Choses qui leur sont totalement impossible dans une cage.
Nous avons fait le choix de les accueillir chez nous. A nous ensuite, de nous adapter afin de respecter au mieux leurs besoins pour avoir des lapins bien dans leur pattounes !
De quels soins a-t-il besoin ?
Trouver un vétérinaire spécialisé
Les lapins font partie de la grande famille des NAC, ou Nouveaux Animaux de Compagnie. Il s’agit d’animaux plus ou moins exotiques (incluant perroquets, lézards et même tarentules) qui nécessitent des soins très particuliers et des produits spécifiques.
Tous les vétérinaires ne sont pas formés à leurs particularités, pas plus qu’aux soins à leur apporter. C’est la raison pour laquelle il est absolument nécessaire de vous rapprocher d’un vétérinaire spécialisé, apte à donner à votre lapin les soins dont il a besoin.
Pour cela, vous trouverez sur notre site un annuaire vous permettant de localiser le spécialiste le plus proche de votre domicile.
La vaccination : une étape indispensable
Le lapin domestique est sensible à deux maladies mortelles et sans traitement, pour lesquelles existent un vaccin : la VHD (pour Viral Hemorragic Disease – maladie virale hémorragique) et la myxomatose.
Ces maladies sont très répandues dans les populations de lapins de garenne, et se transmettent extrêmement facilement : il suffit qu’un lapin malade ait fait ses besoins sur les légumes ou le foin que vous proposez à votre compagnon, et il peut contracter la maladie.
Ainsi, la vie en intérieur ne protège en rien contre ces affections : la vaccination est absolument nécessaire. Votre vétérinaire est le plus à même de vous conseiller sur les différents vaccins possibles, et sur le calendrier vaccinal à adopter en fonction de l’âge et de l’état de santé de votre boule de poils : n’hésitez pas à lui en parler !
La stérilisation : systématique ou non ?
Nous vous conseillons de procéder à la castration ou la stérilisation de votre animal dès sa puberté. Pourquoi ? Tout d’abord, pour éviter les comportements indésirables type marquage de territoire, grossesses nerveuses chez la femelle ou rapports non sollicités du mâle avec à peu près tout ce qui existe.
Ensuite, parce que 80% des femelles âgées de plus de 2 ans déclarent un cancer ovario-utérin. Si la cause n’est pas encore clairement identifiée (on soupçonne les processus de sélection et de croisements), rien ne sert de courir le risque. L’ovario-hystérectomie est aujourd’hui une intervention bien connue par les vétérinaires spécialisés, avec des suites généralement simples.
Enfin, parce que les portées non désirées sont aujourd’hui encore l’une des principales causes d’abandon. Ne pas stériliser son animal, c’est aussi prendre le risque qu’il se reproduise lors d’une fugue ou d’une rencontre fortuite avec un autre représentant de son espèce. Le lapin étant l’animal le plus abandonné à ce jour, nous comptons sur vous pour mettre fin à ce cercle vicieux ! 😉
Anti-puces, anti-tiques, vermifuges… Votre lapin doit-il être déparasité ?
S’il ne côtoie pas d’animaux ayant accès à l’extérieur, il n’y a normalement aucune raison de déparasiter votre lapin.
Si, en revanche, il croise régulièrement votre chien, votre chat ou s’il a lui-même accès à votre jardin, il peut être intéressant de le traiter en prévention. Le risque dépend cependant de votre localisation et de la saison… Ces produits n’étant pas tout-à-fait anodin, il convient d’en parler d’abord à votre vétérinaire, le seul à même de vous conseiller.
A son arrivée…
Du calme et de la patience
Fraichement débarqué dans sa nouvelle maison, il est fort probable que votre lapin se montre très intimidé. Commencez par ouvrir sa cage de transport au sein de son espace, et laissez-le en sortir à son rythme (cela peut être long).
Ne le manipulez pas les premiers temps : c’est à lui de venir vers vous. Asseyez-vous près de lui, parlez-lui et usez même d’un granulé ou deux pour le convaincre de venir vous voir. Laissez-le vous sentir, vous contourner et faites des gestes doux. Tendez votre main et tentez une caresse sur la tête. Même s’il est probable qu’il la refuse de prime abord, ça viendra !
L’important dans ces premiers échanges, c’est de se souvenir que le lapin est avant tout un animal de proie. Il n’est pas naturel pour lui d’être porté, bousculé ou même de côtoyer d’imposants bipèdes. Il lui faut du temps, et il faut surtout qu’il ne vous identifie pas comme une menace ou un prédateur (je sais, ça peut être frustrant, il est si mignon, et vous voulez tellement lui faire des câlins !). Rappelez-vous que la première impression est importante et qu’elle laisse un souvenir tenace : patience, douceur et calme sont les maitres-mots !
Si votre lapin a un passé difficile ou qu’il se montre vraiment très craintif, le Secure Bunny peut l’aider à traverser plus sereinement la découverte de son nouveau territoire (garanti sans danger, et sans effet secondaire ! 😉).
La quarantaine
Dès son adoption et dans les 30 jours qui la suivent, votre lapin devrait être placé dans une pièce à l’écart de vos autres animaux. En effet, une maladie peut se déclarer après son arrivée, et certaines sont transmissibles à d’autres espèces (cela vous concerne également).
Chaque fois que vous manipulerez votre animal ou sa litière/ses excréments, pensez à bien vous laver les mains après. Maintenez une hygiène irréprochable dans son espace, faites attention aux poils qui pourraient s’éparpiller dans votre logement et transporter des parasites par exemple. Ménage et entretien seront la clé de ce premier mois.
La surveillance du transit et la première visite de contrôle chez le vétérinaire
Le stress peut provoquer des troubles digestifs à votre lapin. Il est donc essentiel de surveiller son transit dans les quelques jours qui suivent son adoption. Qu’il s’agisse de diarrhée ou au contraire d’une absence totale de crottes (un lapin en bonne santé en fait environ 200/24h), il convient de contacter votre vétérinaire au plus vite, il s’agit d’urgence vitale !
Si tout va bien côté transit, prévoyez tout de même une petite visite de contrôle chez le vétérinaire : vous avez pu passer à côté de quelque chose (type propreté des oreilles ou otite débutante), et votre professionnel de santé animale se fera une joie de vérifier que tout va bien. Vous pourrez également profiter de cette première visite pour lui poser toutes vos questions, et pour lui demander des conseils. Bref, un moment d’échanges bien utile !
Partager la vie d’un lapin
Maintenant que vous avez fait tout cela, vous aurez la joie de partager votre vie avec l’un des animaux les plus drôles, facétieux et caractériels (dans le bon sens) qui puissent exister.
Son premier flop sera peut-être synonyme de panique pour vous : notre article sur le langage corporel du lapin devrait tout de même grandement vous aider à mieux le comprendre et à moins vous inquiéter de ses petites bizarreries 🤡
Vous aurez également peut-être envie de partager vos découvertes, vos questions ou votre nouvel amour avec le monde entier : notre groupe Facebook de passionné.e.s vous est dédié !
Nous espérons que cet article vous aura été utile, ainsi qu’à votre/vos futur.s protégé.e.s. Comment ? J’emploie ici un pluriel ? Tout-à-fait, et ce n’est pas une erreur de ma part : tout d’abord, les lapins sont des animaux sociaux qui ont besoin de congénères pour leur équilibre et pour dévoiler toutes les facettes de leur extraordinaire personnalité. Adopter un autre lapin n’est donc que la prochaine étape 😉 Par ailleurs, je sais de source sûre qu’il est difficile, une fois découverte cette merveilleuse espèce, de ne pas transformer toute sa maison en garenne 😁